Contribution à l'exploitation des ressources malacologiques des espaces littoraux à la fin du Pléistocène et à l'Holocène au Maroc oriental et atlantique
Abir El Ouafi  1, *@  , Abdeljalil Bouzouggar  2, *@  , Mohammed Mouhiddine  3, 4, *@  
1 : Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Ben M'Sik - Université Hassan II, Casablanca
2 : Institut National des Sciences de l'Archéologie et du Patrimoine
3 : Université Hassan II/Casablanca
Casablanca, Maroc -  Maroc
4 : Institut National des Sciences de l'Archéologie et du Patrimoine  (INSAP)  -  Website
Av. Allal El Fassi angle rues 5 et 7 Madinat Al Irfane, Hay Riad -  Maroc
* : Corresponding author

L'expérimentation en archéologie est un outil méthodologique qui a souvent contribué à mieux comprendre les processus de fabrication des différentes productions humaines dans le passé. Auparavant, les recherches se sont été appuyées directement sur l'étude des collections préhistoriques en ayant recours à des hypothèses et des modèles. Notre étude est basée sur une approche expérimentale et tracéologique de deux espèces malacologiques : Cerastoderma glaucum et Mytilus galloprovincialis et qui a pour but l'étude des coquillages perforés dans la préhistoire du Maroc. La comparaison entre les résultats expérimentaux et archéologiques a permis de déceler la fonction des objets de parure préhistoriques de deux grottes marocaines : Dar Es Soltan 1 et Rhafas , tout en précisant les processus et les techniques de perforation des coquilles.


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